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Robert Merle. La Mort est mon métier est un livre par Robert Merle, publié le 1961. Le livre composé de 437 feuilles et disponible en format PDF et ePub. Vous pouvez avoir ce livre en ligne. Retrouvez plus d'informations ci-dessous
Caractéristiques Robert Merle. La Mort est mon métier
Le tableau ci-dessous sont affichées des données complémentaires sur Robert Merle. La Mort est mon métier
Le Titre Du Livre | Robert Merle. La Mort est mon métier |
Publié Le | 1961 |
Langue du Livre | Français & Anglais |
ISBN-10 | 1500130988-RZH |
ISBN-13 | 785-8690767616-WBG |
de (Auteur) | Robert Merle |
Traducteur | Madinah Lillee |
Numéro de Pages | 437 Pages |
Éditeur | Gallimard impr. Brodard et Taupin |
Format de Fichier | AMZ ePub PDF FDX PPT |
Taille du fichier | 44.43 MB |
Nom de Fichier | Robert-Merle.-La-Mort-est-mon-métier.pdf |
Livre Robert Merle. La Mort est mon métier Lire en Ligne
La mort est mon métier — WikipédiaHistorique. La mort est mon métier a été écrit de 1950 à 1952. Comme l'indique Robert Merle dans sa préface, ce livre a été écrit à contre courant et a semblé, lors de sa parution, quelque peu « démodé ».
La Mort est mon métier - Robert Merle - BabelioLa terrifiante réalité des atrocités de la Seconde Guerre Mondiale servie par la plume brillante et sans concession d'un auteur rompu à tous les exercices de style, cela vous donne un grand roman tel que "La Mort est mon métier".
La mort est mon métier, de Robert Merle - CritiqueLa mort est mon métier – Résumé. Le Reichsführer Himmler bougea la tête, et le bas de son visage s’éclaira… – Le Führer, dit-il d’une voix nette, a ordonné la solution définitive du problème juif en Europe.
La mort est mon métier - Robert Merle - Le Tourne PageLa mort est mon métier est le deuxième roman de Robert Merle consacré à la seconde guerre mondiale, trois ans après Week-end à Zuydcott, prix Goncourt 1949
La Mort est mon métier - Robert Merle - SensCritiqueLylo Critique de La Mort est mon métier par Lylo (...) La singularité de cet ouvrage, à défaut de l'être dans son sujet, réside dans le fait que Rudolf Lang, l'équivalent romanesque de Rudolf Höss, soit lui-même le narrateur du récit.